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Les 3 types de photographies professionnelles à avoir dans sa communication.

Je sais que les photographies professionnelles pour son entreprise ou sa structure ne passent pas en premier. Il y a d’abord l’identité visuelle à réaliser, les textes de son site internet à écrire, sa stratégie de communication à définir, etc.

Pourtant, sans photographies professionnelles qui renvoient votre expertise et votre différence, il va être difficile de vous démarquer et de vendre vos services.

Voici les 3 types de photographies qui doivent coexister impérativement dans votre communication digitale pour vous faire gagner en notoriété :

  1. Les photographies branding pour inspirer confiance et vous démarquer.
  2. Le portrait pour humaniser votre structure.
  3. La photo produit pour montrer la qualité de votre expertise.

1. Des photographies branding pour inspirer confiance

Qu’est-ce donc que des photos branding ?

Ce sont des images qui incarnent votre image de marque, votre message et votre positionnement. Elles vous rendent mémorables et sont le reflet de votre différence.

Mais je sais que ce n’est pas toujours simple à réaliser. Déjà, il faut avoir confiance en soi, son service ou son produit. Ce qui n’est pas toujours facile (coucou syndrome de l’imposteur) !

On peut avoir confiance en ses propres capacités, mais ne pas être à l’aise à l’idée de prendre la parole sur les réseaux sociaux. On peut être enthousiaste à l’idée de montrer ses créations, mais pas son visage (j’ai d’ailleurs eu beaucoup de mal à me défaire de cette problématique).

Le shooting photo est un super moyen de poser un œil nouveau sur soi et son travail.

Vous pouvez tisser du lien avec votre audience pour lui inspirer confiance**.** Votre cible a besoin de s’assurer de votre savoir-faire et donc de voir le résultat de votre travail. Elle a envie de vous connaître et de savoir qui se cache derrière votre produit ou service.

Ce n’est pas pour autant qu’il faut afficher des photographies de vacances ou mettre des images personnelles pour connecter. C’est à ça que servent vos visuels branding.

Ce sont des photographies qui permettent de s’immerger dans votre univers et qui ne ressemblent pas à celles de la concurrence. Elles peuvent se faire en studio ou à l’extérieur mais elles doivent appuyer votre identité de marque.

Ces photos viennent incarner votre identité visuelle avec stratégie. Votre branding incarne donc votre différence. Il s’agit de capturer votre petite touche qui vous différencie dans votre secteur d’activité.

Je vous propose de découvrir les deux autres types de format à avoir sur son site et dans sa communication grâce au travail de deux photographes : Élisabeth Froment et Julie Harreau.

2. Le portrait pour humaniser son entreprise

Élisabeth Froment est photographe depuis 6 ans à Tours et accompagne des professionnel·les dans la réalisation de leurs portraits.

Voici pourquoi elle estime que ce type de photo est essentiel pour sa communication digitale.

« Vous représentez votre entreprise, et incarnez ses valeurs. Des portraits de soi permettent de rassurer vos clients potentiels et de faciliter la prise de contact. Vos photos peuvent permettre de mettre en avant vos qualités et atouts dans votre domaine : bienveillance, sympathie, sérieux, détermination…etc.

Vous présenter ainsi instaure un rapport plus humain, une proximité, qui facilite la confiance.

Ces photos vous constitueront également une banque d’images pour vos supports de communication, qui va au-delà de la présentation de vos produits ou services. Cela peut être pour la catégorie à propos de votre site, et vos réseaux professionnels notamment.

Il est important de réaliser vos photos avec un·e professionnel·le pour un résultat qualitatif. Si vous fuyez habituellement l’appareil photo, il ou elle saura vous guider dans vos poses pour que ce soit naturel.

Je conseille d’utiliser des photos récentes, de moins de 3 ans. Une photo trop datée risquerait de manquer de crédibilité ou de ne plus être en accord avec l’image de votre activité.

Avant votre séance, vous pouvez déterminer le style de vos portraits selon votre domaine et votre utilisation.

Voici quelques options :

  • le classique portrait simple mais travaillé en studio
  • le portrait naturel et dynamique en extérieur,
  • une séance dans votre bureau/lieu de travail, en interaction avec vos outils de travail.

Le plus important est que vos images vous ressemblent et vous correspondent, pour vous présenter à votre clientèle ! »

Les portraits sont donc là pour vous présenter et apporter une touche plus authentique à votre communication. Car il ne faut pas oublier que votre cible est derrière son écran d’ordinateur et rentre en contact avec des centaines d’autres entreprises au quotidien – que ça soit via la publicité ou les réseaux sociaux.

Ces photographies de votre buste ne riment pas avec manque de personnalité ou photo ennuyeuse de CV. C’est l’endroit parfait pour faire scintiller qui vous êtes et mettre en avant des éléments qui vous représentent. Cela vous permettra de vous connecter plus en profondeur avec votre cible idéale et de repousser les personnes à l’opposée de vos valeurs. Eh oui !

Surtout, ces photos peuvent être utilisées sur la page À Propos de votre site internet mais aussi sur vos publications sur les réseaux sociaux. C’est pour cela qu’elles doivent représenter l’image que vous avez envie de renvoyer dans votre stratégie de communication.

3. Des photographies de vos produits pour montrer la qualité

Julie Harreau est photographe engagée et créatrice d’émotions. Elle sublime les métiers de l’artisanat, du bien-être, et de la gastronomie grâce à des images impactantes et authentiques.

Voici pourquoi, à ses yeux, la photographie produit est un incontournable.

« Imaginez-vous une seconde vous arrêter devant un produit disgracieux, mal présenté, sur lequel vous ne trouvez aucune information et l’acheter. Impensable, n’est-ce pas !

Il en est de même pour votre audience.

Votre produit doit la toucher dès le premier regard. Toutes les informations visuelles doivent être réunies pour qu’elle puisse se projeter et s’identifier à lui.

Et l’image est ce qu’elle verra en premier, alors rendons-la incroyable !

Avoir des images de qualité, travaillées, qui vous reflètent, fait passer des idées fortes :

  • Notre produit est aussi visuel que qualitatif (si si je vous assure qu’on voit la différence).
  • Nous sommes authentiques.
  • Vous allez vivre une expérience enrichissante.
  • Vous pouvez nous faire confiance.
  • L’ambiance et la bonne humeur comptent autant pour vous que pour nous…

Lorsque vous faites appel à un·e professionnel·le, vous donnez le signal à votre corps et à votre audience que vous investissez sur vous, sur votre entreprise et pour sa réussite. Un sentiment de fierté vous envahit et toute cette confiance, cette belle énergie se ressentira dans le message visuel que vous créerez.

Alors, voici le secret d’une photo produit impactante :

Pour avoir l’effet escompté et toucher une cible sensible à votre engagement, votre création, il ne suffit pas seulement de savoir manier un appareil photo ou d’avoir le dernier téléphone à la mode.

Premièrement, il est important de bien choisir son ou sa photographe. Rapprochez-vous de celui ou celle dont les images vous attirent, dont la personnalité vous touche, qui vous inspire sérénité et confiance. Et si il·elle est spécialisé·e dans un domaine qui se rapproche fortement du vôtre alors l’expérience en sera plus grande !

Deuxièmement, il est impératif pour le·la photographe de mieux vous connaître, d’en savoir d’avantage sur votre marque, votre produit, vos envies, vos objectifs, votre why, votre histoire, vos valeurs…

Cette relation permet par la suite de créer des images qualitatives et adaptées à l’histoire de votre marque. Elles auront un impact direct sur votre client de cœur qui se sentira en totale connexion-confiance avec la marque et comprendra tout de suite tout le potentiel et la valeur du produit que vous lui proposez.

Soyez fièr·e de ce que vous avez créé. Montrez-le et faites-le bien ! »

Ce type de photographie met en avant vos produits grâce à des mises en scène esthétiques et permet à votre cible de se projeter, de lever certains freins ou interrogations. Ces belles photos sont absolument essentielles pour les boutiques en ligne ou les artisanes car personne n’achète un produit sans voir à quoi il ressemble.

Mais vous n’êtes pas obligé·e de faire des visuels basiques ! Vos mises en scène peuvent être loufoques, décalées et hautes en couleur à condition qu’elles respectent votre charte graphique.

Si votre identité visuelle se compose majoritairement de noir et de blanc et renvoie une image minimaliste, vous n’allez pas shooter les mêmes photos que si votre structure utilise des couleurs naturelles et des polices de caractères épaisses et structurées.

Tout doit être pensé avec stratégie pour atteindre votre objectif : la vente de votre expertise.

Vous n’avez pas encore d’identité visuelle à la hauteur de vos convictions ?

Retour d’expérience : ce que déléguer m’a permis d’accomplir.

Lors de la création de son activité, se dégager un salaire décent devient LA priorité. Déléguer à un·e freelance certaines choses comme l’identité visuelle, la création de son site internet ou sa stratégie de communication n’est pas dans les priorités.

Dans un souci d’économie et pour préserver son chiffre d’affaires, vous exercez alors votre cœur de métier en plus de répondre à tous les besoins associés au projet (gestion, organisation, comptabilité, communication, etc.)

Pourtant, déléguer a été une vraie révélation dans ma posture de cheffe d’entreprise.

Dans cet article, je reviens sur mon retour d’expérience en vous parlant de mon état d’esprit avant la délégation, les critères à prendre en considération pour trouver LA bonne personne, et mon rapport à l’argent.


L’entrepreneuriat nous demande de savoir tout faire

Certaines structures ne récupèrent pas la TVA car elles n’y sont pas soumises (micro-entreprise sous un certain seuil, association à but non lucratif) et les charges ne sont pas toujours déductibles.

Ces deux conditions peuvent être perçues comme un frein à déléguer.

Vous vous formez alors comme vous le pouvez pour :

  • être capable de faire votre compta
  • créer votre site internet.
  • réussir à créer des posts Instagram esthétiques et qui créent de l’engagement
  • la liste est longue…

On est alors au four, au moulin et en train d’essayer de vendre ses produits ou ses services.

Tout faire soi-même demande énormément de temps et d’énergie pour un résultat qui n’est pas toujours à la hauteur. Et c’est normal ! Chaque personne est spécialisée dans son métier. Si vous êtes dans l’associatif, ce n’est pas une tare de ne pas connaître tous les rouages marketing ou les subtilités à avoir en tête quand on crée son identité visuelle.

Être à son compte ne veut (malheureusement) pas dire passer 100 % de son temps à faire uniquement des choses qui sont dans votre zone de génie. Et cela peut être fatiguant.

Est-ce donc vraiment un gain et de temps si l’épuisement est proche ?

Si le résultat est décevant, que devient la confiance en soi et le sentiment de légitimité ?

Ce sont ces questions qui m’ont permis de sauter le pas et de déléguer à plusieurs reprises sur des thématiques différentes.


Comment j’ai géré mon rapport à l’argent (et au temps)

Pendant longtemps, j’avais extrêmement peur de dépenser l’argent de mon entreprise. Et peut-être que c’est la même chose pour vous.

À mes yeux, déléguer = dépenser

L’entrepreneuriat bouscule nos codes et notre rapport à l’argent car le chiffre d’affaires que l’on encaisse n’est pas du tout notre revenu net ou le salaire que l’on se verse. Il y a donc une grande différence entre les deux et c’est en questionnant la place (et le rôle) de l’argent de son entreprise que l’on peut l’utiliser pour grandir et déléguer.

Au départ, j’ai passé des heures à bricoler mon site internet avant de le déléguer.

Dans les derniers mois de son utilisation, il mettait plusieurs secondes à s’afficher et ne s’adaptait pas bien aux différentes tailles d’écran. Il n’était pas responsive, ce qui est tout de même un point (très) négatif aux yeux de Google et de mon audience. La navigation sur un téléphone portable était un calvaire. Certains éléments disparaissaient parfois. Je vous laisse imaginer le supplice.

J’ai compris que l’énergie et le temps me manquaient pour suivre une formation solide qui m’aurait permis d’être (à peu près) compétente et autonome. Mais surtout, je ne voulais pas devenir webdesigneuse ou conceptrice web. La technique pour créer un site de A à Z est très loin de mes envies de créativité que je trouve dans le graphisme et l’illustration.

Mais, déléguer c’est surtout investir !

Bon. Pas le choix, j’ai décidé de faire appel à quelqu’un et de sauter le pas !

J’ai dû travailler sur moi (et ma peur de manquer d’argent) pour comprendre une chose extrêmement importante : dépenser pour déléguer, c’est finalement investir sur soi et sur son entreprise.

Un changement de mot peut parfois être totalement libérateur et amener un nouveau regard sur les choses.

Si dépenser devient investir, alors ce mot qui sonne négatif, devient positif.

Alors d’accord, se faire aider ça coûte de l’argent. Mais ça permet surtout de dégager du temps qui peut-être utilisé dans son cœur de métier. Plutôt que de passer trois heures à essayer de faire des posts Instagram qui vont être un peu bancals, peut-être que vous pouvez garder ce temps pour vous concentrer sur les missions client que vous pouvez facturer.

Si déléguer se transforme en investissement, alors l’accent peut être mis sur ce qui va être gagné : du temps, des client·es, de l’argent. Eh oui ! Car le temps dégagé vous permet de vous concentrer sur votre zone de génie. Ce sont toutes les actions que vous aimez réaliser, qui font partie de votre spécialisation et qui vous rapportent du chiffre d’affaires.

La peur du manque de trésorerie n’est plus un frein car les bénéfices de la délégation sont nombreux :

  • gain de temps
  • gain d’argent
  • gain de qualité dans l’image renvoyée
  • alignement entre mes valeurs et mes actions

Déléguer vos posts à une personne qui saura les réaliser en deux fois moins de temps que vous et avec plus d’expertise permet de gagner en qualité car ils seront beaux (et intéressants !) à lire.

Les retombées d’un investissement ne concernent pas que la personne qui délègue !

Confier une tâche à une autre personne signifie lui donner du travail, la rémunérer, et donc la faire vivre.

Pour développer ce sujet de redistribution des richesses, je conseille un livre qui m’a beaucoup aidée : Le guide de l’entrepreneur durable de Solene Pignet et l’inspirant épisode 3 du podcast Alignées de Dorothée Cadiot.


Déléguer m’a permis d’affirmer mes valeurs et prendre confiance en moi !

Le manque de temps est une bonne raison pour déléguer.

Le manque de compétences aussi !

Pendant que je bricolais péniblement mon site internet, j’ai réalisé que je n’avais vraiment pas les compétences requises pour mettre en place un site de cette ampleur qui ne soit pas un désastre archi-polluant et non pensé pour l’expérience utilisateur.

Or, pour une graphiste engagée pour l’inclusion, l’accessibilité et pour diminuer son impact environnemental, la question de l’impact du web est au coeur de mes préoccupations.

Comment être légitime à se décrire comme responsable si son outil de communication principal ne l’est pas ?

J’avais besoin d’avoir un site fonctionnel pour promouvoir mon activité, mais j’estimais important de me sentir alignée avec mes outils de communication.

  • Instagram me demande trop d’énergie ? Je réduis la quantité de posts.
  • Mon site internet pollue trop ? Je veux qu’il soit éco-conçu.

Déléguer la création de mon site m’a permis de prendre du recul sur mon activité.

Avoir un site accessible, éco-conçu et visuellement esthétique a boosté ma confiance en moi et en ma communication. J’incarne maintenant ce choix d’affirmer mon engagement en faveur de la communication responsable.

Me sentir vraiment alignée entre ma façon de travailler, ma clientèle, mes partenaires et mes prestataires est source de fierté !

J’ai choisi de faire appel à Fabien Perot pour développer mon site en éco-conception. Et j’ai travaillé avec Emma Nubel, fondatrice d’Acribologue du web, pour travailler le SEO de mon site et la tonalité de mes textes.


Tout cela pour dire que si je devais déléguer de nouveau et investir dans mon entreprise, je le ferai sans hésiter ! Mais à condition de savoir pourquoi on délégue certaines choses et pas d’autres.

Selon le budget ou les capacités, il est tout à fait possible de déléguer seulement une partie de sa communication ! Vous pouvez découvrir l’expérience de Noëlle sur son blog. Et c’est également ce que je propose : vous n’êtes pas obligé·e de déléguer votre identité visuelle avec une grosse charte graphique à la clé. Je peux réaliser une analyse de votre communication visuelle pour vous aider à y voir plus clair.

Déléguer auprès d’un·e spécialiste qui comprend le besoin réel, qui partage les valeurs et la vision, c’est aussi aligner toutes les parties de son activité. Cela permet de se sentir tout à fait légitime et d’affirmer son engagement !

Suivre les tendances graphiques ne sert à rien pour construire son image de marque

Oui, une communication “à la mode”, qui reprend les couleurs, les typographies et les styles qui sont tendances, c’est cool. Mais, ce n’est sans doute pas ce que vous voulez si vous souhaitez que votre entreprise ou structure se démarque parmi toutes les autres de votre secteur.

Vous avez besoin d’une image de marque incarnée par une communication ciblée et efficace. Rien que ça !

C’est pour cela que la stratégie va devenir votre meilleure amie**.** Une communication efficace reflète les fondations de la structure et le contexte dans lequel elle évolue. Elle s’adresse à sa cible idéale et délivre le bon message.

Avec une stratégie claire, vous économisez de l’énergie et des ressources puisque vous dépensez moins d’argent et vous limitez votre impact environnemental en évitant le gaspillage.

Alors, comment faire pour créer des visuels percutants grâce à une bonne image de marque ?

  1. Connaître les fondations de sa structure pour agir avec stratégie.
  2. L’importance de connaître sa cible idéale en profondeur.
  3. Créer une image de marque en adéquation.
  4. Analyser ses statistiques et ajuster sa stratégie

1. Définir les fondations de sa structure avant de créer ses visuels

C’est seulement en connaissant ces éléments fondamentaux que vous pourrez établir une stratégie, choisir les canaux de communication les plus adaptés et créer des visuels attirants qui convertissent.

Avant de vous lancer dans la communication de votre projet il est absolument indispensable de définir la carte d’identité de votre structure.

Voici quelques questions à vous poser :

  • Quels sont mes objectifs au travers de mon activité : pourquoi est-ce que j’ai cette activité ?
  • Quels sont mes objectifs pour mon activité : augmenter mon chiffre d’affaires ? Lancer une nouvelle offre ? Avoir plus de temps libre ? Libre à vous de définir la route à suivre.
  • Qui est ma concurrence ? Quelles sont mes particularités qui me différencient d’elle ? Quel est mon positionnement ?
  • Quelles sont mes valeurs ?
  • Quelle est ma clientèle idéale ?
  • Quelles sont mes offres principales?

Bien évidemment, en fonction de votre évolution et vos aspirations, certaines réponses peuvent changer au fil du temps. Mais, elles servent véritablement de base à votre stratégie de marque qui vient nourrir votre identité graphique.

Une fois que vous aurez des réponses à toutes ces questions, vous pourrez vous pencher sur votre stratégie de communication. Je vous parle de tout cela avant d’aborder la question du graphisme car vos visuels vont répondre à vos objectifs.

Qu’est-ce que vous souhaitez obtenir lorsque vous communiquez, que ça soit avec des publications sur les réseaux sociaux ou avec votre site internet ?

La réponse dépend de votre vision et vos envies :

  • vendre plus
  • sensibiliser à une thématique
  • vendre telle ou telle offre
  • mobiliser pour une cause
  • élargir votre audience
  • devenir une référence dans votre domaine…

2. Connaître sa cible sur le bout des doigts pour vendre plus facilement

Avoir une stratégie de communication sans connaître parfaitement sa cible idéale, c’est comme attendre que les pommes tombent de l’arbre directement dans son panier. Il y a de grandes chances qu’elles atterrissent à côté. Vous loupez des opportunités.

Pour créer des visuels efficaces et avoir une stratégie de marque pertinente, il faut absolument connaître sa cible idéale, l’analyser, comprendre ses comportements et ses envies :

  • Qui est-elle ?
  • Quels sont ses besoins ?
  • Quelles sont ses valeurs ? Ses centres d’intérêt ?
  • Quels sont les endroits où elle se trouve (canaux, présentiel…) ? Quels sont les outils de communication qu’elle utilise ?
  • Quelles sont ses problématiques ?
  • Quelles sont ses frustrations ?
  • Pourquoi est-ce qu’elle est frustrée sur ces points ?
  • Pourquoi est-ce qu’elle choisirait votre entreprise et pas celle d’un·e concurrent·e ?

Ces réponses permettent de définir quels canaux de communication, quels supports utiliser et les sujets à aborder (ça, c’est la stratégie de contenu) pour atteindre vos objectifs de communication et de notoriété.

Par exemple :

  • Votre communication digitale peut inciter à réserver un appel découverte (objectif : vendre), participer à une campagne de crowdfunding (objectif : mobiliser), télécharger un document offert (objectif : se créer une mailing list et démontrer votre expertise)…
  • Votre communication print peut aider à vous faire connaître (brochure ou carte de visite), montrer votre maîtrise d’un sujet (livre), informer d’un événement (affiche ou flyer)…

Mais, c’est aussi grâce à toutes ces réponses que vous pourrez affiner votre image de marque et votre positionnement. Parce qu’aujourd’hui le prix n’est plus le seul critère de choix entre des entreprises similaires. Valeurs, message porté, qualité de l’expérience client…tout cela rentre en compte quand il s’agit de savoir chez qui l’on veut acheter.

Une fois tous ces éléments posés il est temps de passer à la partie visuelle ! En gardant tout cela en tête vous pourrez construire une image stratégique qui touche votre cible en plein cœur, sans avoir besoin de suivre les tendances graphiques, et ce sur tous les supports de communication.

L’objectif reste de vous créer un branding intemporel qui vous permet de vous démarquer de la concurrence, sans avoir uniquement des éléments graphiques à la mode qui risquent fortement de devenir vieillots à un moment donné.

3. Votre identité visuelle doit incarner votre différence

La stratégie de communication définie en amont est nécessaire pour transformer votre message en images. Mais, pour y arriver, il faut que votre univers de marque corresponde à l’image de marque définie en amont avec stratégie.

Comment créer un univers singulier et attrayant sans suivre les tendances graphiques ?

Le travail graphique consiste à bien mélanger votre contexte, votre identité et votre cible, pour en sortir des visuels percutants.

Pour cela, créez une charte graphique qui ne s’appuie pas uniquement sur vos préférences.

Voici comment vous y prendre :

  1. Analysez les codes graphiques utilisés dans le contexte dans lequel vous évoluez : votre domaine d’activité et la concurrence. Cela permet de faire émerger un univers. Je ne dis pas qu’il faut copier ce que fait la concurrence, loin de là ! Mais cela va vous donner une idée des codes qui sont utilisés.
  2. Mettez en avant votre singularité dans ce contexte : vos visuels doivent transcrire vos valeurs et vos objectifs pour vous démarquer et vous différencier. Vous pouvez utiliser les codes que vous avez trouvés à l’étape 1 et les arranger à votre sauce (toujours pas de plagiat, hein !). Vous pouvez également décider de partir à l’opposé et de construire un univers qui rejette ces normes. Mais attention, je vous explique après pourquoi ce n’est pas toujours la meilleure solution pour sortir du lot.
  3. Ne mettez jamais votre cible idéale de côté : le ton que vous utilisez doit être adapté. Votre communication visuelle doit vous plaire et vous ressembler car elle parle en votre nom, mais elle doit aussi convaincre votre audience. Différents leviers vont être activés selon que votre communication s’adresse à des institutions, des solopreneur·euses, des enfants, des associations… Il faut donc leur parler avant tout.

Casser les codes, bonne ou mauvaise idée ?

Votre univers de marque doit vous rendre facilement identifiable et vous démarquer de la concurrence sans oublier de vous inscrire dans un contexte, un secteur.

Pour sortir du lot, deux options s’offrent à vous :

  • Vous inscrire dans une continuité de références culturelles et visuelles pour que votre domaine d’activité soit rapidement identifiable. Par exemple : utiliser des formes qui font référence à la nature, des couleurs minérales ou des éléments graphiques minimalistes si vous êtes une entreprise engagée sur les questions environnementales.
  • Casser complètement les codes pour crier haut et fort votre singularité. Attention, vous vous inscrivez toujours dans un contexte et partir à l’opposé peut rendre votre activité difficile à identifier. Votre message doit être très clair.

Les deux options fonctionnent tout à fait.

La question à se poser est la suivante : avec laquelle êtes vous le plus à l’aise ?

Choisir l’option 1 ne veut pas dire que vos visuels seront exactement les mêmes que ceux de votre concurrence ! Vous allez partager certains codes tout en valorisant la personnalité de votre structure.

La stratégie se travaille avant l’identité visuelle

Une fois votre stratégie établie, vous pouvez travailler votre identité visuelle et les éléments graphiques qui vont la composer : logo, typographies, palette de couleurs…

C’est la première chose à faire avant de vous lancer dans la création de vos supports de communication ou vos publications pour les réseaux sociaux.

Définissez ensuite votre univers graphique : couleurs, polices de caractères, logo. Vous pourrez les utiliser pour développer le reste de votre communication : site internet, templates pour réseaux sociaux, carte de visite, livre…

4. Analyser ses statistiques pour sortir des tendances

Une fois que vous avez commencé à communiquer, il est important de mesurer l’efficacité de ce que vous avez mis en place grâce à l’analyse de vos statistiques.

Pourquoi ?

Pour ajuster votre stratégie en fonction ! Bien sûr, vous allez voir que certaines publications ont peut-être bien marché car elles s’inséraient dans les tendances du moment mais il faut aller plus loin que les simples likes.

  • Combien de client·e avez-vous eu ce dernier mois ?
  • D’où venaient ces personnes ?
  • Avez-vous eu de l’engagement sous vos posts ? Lesquels ont le mieux marché ?
  • Avez-vous eu des enregistrements ? Des partages ? Des mentions ?

Pour suivre la performance de son site web pour optimiser sa com digitale, je vous conseille de lire l’article de Noëlle, experte en stratégie de communication.

Pas d’univers visuel sans stratégie en amont

Tout travail de communication commence donc par bien connaître sa structure et sa cible pour définir une stratégie de communication. Plus besoin de suivre les tendances graphiques pour avoir une image de marque qui vous plaît. C’est même tout l’inverse qui est important.

Ce n’est pas pour autant que vos visuels seront fades (au contraire !) ou qu’ils ressembleront à ceux de votre concurrence. Ils seront simplement la représentation de votre message, votre positionnement et vos valeurs. Et quand on est une structure engagée sur les questions environnementales et sociales, c’est vraiment très important.

Vous souhaitez avoir une identité visuelle à la hauteur de vos convictions et qui ne met pas de côté votre singularité ?

Un logo seul suffit-il pour avoir une identité visuelle ?

Lorsque l’on lance son entreprise, on a tout de suite envie d’avoir un logo. Et c’est normal ! Le logo se met partout : en signature de mail, sur vos flyers, votre site internet ou encore vos réseaux sociaux. C’est lui qui permet de vous identifier au premier coup d’oeil et de vous garder en mémoire.

Que ce soit le panda de WWF, le crocodile de Lacoste ou encore le “swoosh” de Nike, toutes ces entreprises voient leurs valeurs prendre vie dans ce petit symbole à l’importance essentielle.

Mais est-ce qu’un logo suffit pour avoir une identité visuelle qui se démarque sur le marché ?

Vous vous doutez peut-être déjà de la réponse, mais dans cet article je vous parle de l’élément essentiel à mettre en place pour avoir de la cohérence dans vos visuels. Et je vous explique pourquoi je ne créé pas de logo seul.

Pourquoi avoir un logo ?

Votre logo représente votre structure. Et votre entreprise, si vous êtes freelance ou seul·e à la barre, c’est vous. Donc votre logo, c’est vous : vos valeurs, votre positionnement, vos engagements.

Votre logo doit être authentique et transmettre en une seule image :

  • votre domaine d’activité
  • vos compétences
  • vos engagements.

Eh oui, pas si simple !

C’est sur cette image que votre audience va décider si elle peut avoir confiance en vous et votre projet ! Et une audience qui a confiance se transforme en clientèle.

Mais la confiance marche dans les deux sens : travailler votre logo pour vous sentir aligné·e, c’est aussi donner un coup de pied au syndrome de l’imposteur et vous sentir plus légitime dans votre communication.

Un logo peut être composé du nom de votre structure, d’un symbole ou des deux éléments combinés.

Quoi qu’il en soit, un bon logo connaît des déclinaisons :

  • le logotype principal
  • un logotype secondaire
  • une déclinaison en noir et blanc
  • une version simplifiée pour mettre en favicon ou en signature

Ces derniers peuvent être utilisés sur vos devis, vos factures, en bas de vos posts… ils sont plus petits et discrets.

Mais attention, un logo seul ne suffit pas, il doit s’inscrire dans une identité visuelle.

C’est l’ensemble de votre image de marque qui peut inspirer confiance et renvoyer une image de qualité. Si vous avez un logo mais différentes typographies sur vos réseaux, votre site et quinze nuances de couleurs qui se battent en duel, vous êtes d’accord que cela ne renvoie pas une image très positive ou qualitative.

Un logo seul pour être reconnaissable, est-ce une bonne idée ?

La réponse est non ! Quelle surprise hein ?

Comme je le disais au-dessus : à quoi bon avoir un logo créé sur-mesure si vous utilisez 15 couleurs et 15 polices de caractères différentes sur chaque publication Instagram et que, du coup, personne ne reconnaît votre structure ?

Votre branding doit garder un fil rouge pour vous démarquer.

L’identité visuelle, c’est un ensemble d’éléments visuels cohérents qui permettent d’identifier une même entité au travers de différents médias de communication.

Si vous voyez une boisson rouge, à qui pensez-vous ? Je n’ai même pas besoin d’écrire le nom de la marque, je suis sûre que vous l’avez en tête.

Votre identité graphique, c’est donc un ensemble où se trouvent :

  • votre logo
  • votre site
  • vos visuels pour les réseaux sociaux
  • vos photos professionnelles
  • votre carte de visite
  • vos pictogrammes
  • votre flyer, livre, etc.

Il est important que tous ces éléments soient liés visuellement pour que votre audience vous reconnaisse immédiatement et vous mémorise, quel que soit le support et le message.

Comment créer d’autres supports de com’ cohérents avec son identité ?

Dans cette situation, la charte graphique est votre meilleure amie !

La charte graphique : là où se niche votre identité

Qu’est-ce qu’une charte graphique ? Ce n’est pas la même chose qu’une identité visuelle !

C’est un document extrêmement détaillé qui vous donne toutes les règles pour appliquer votre identité visuelle. C’est-à-dire qu’il décrit quand utiliser telle couleur, à quelle distance du bord de votre carte de visite écrire votre numéro de téléphone, comment faire votre Powerpoint, etc.

La charte graphique est indispensable dans les structures de taille moyenne ou grande, surtout si plusieurs personnes travaillent à la communication. Et elle permet également de déléguer ses supports de communication à une graphiste super facilement.

Le nombre de pages est très variable car il dépend du nombre de supports nécessaires à la communication de la structure. Par exemple, celle de la Nasa compte 60 pages.

Bref, c’est un document super complet qui vous aide à déployer votre identité de manière cohérente et, par conséquent, à rayonner !

Il ne faut pas se mentir, une charte graphique reste assez onéreuse, et quand on a une entreprise indépendante, ce n’est pas forcément nécessaire.

C’est pour cela que je propose d’opter plutôt pour un guide.

Et le brandboard pour avoir une identité visuelle cohérente ?

Qu’est-ce qu’un brandboard par rapport à la charte graphique ?

C’est en quelque sorte un mémo de l’identité visuelle qui tient en une page A4. En français, cela veut dire “tableau de marque”.

Ce document précieux contient tous les éléments dont il faut se souvenir afin de déployer votre identité de manière cohérente :

  • les polices de caractères
  • vos couleurs avec leurs codes exacts
  • votre logo et ses déclinaisons

Avec le brandboard, vous avez les indispensables de votre identité visuelle. Mais vous devrez faire preuve de créativité si vous voulez déployer votre identité visuelle sur vos supports de communication.

L’importance du guide pour déployer votre identité visuelle

Puisqu’une charte c’est trop et un brandboard c’est pas assez, je vous propose un document intermédiaire, un guide plus complet qu’un brandboard mais moins rigide qu’une charte.

Vous êtes autonome dans l’application de votre identité visuelle et vous pouvez créer vous-même vos visuels pour les réseaux sociaux, par exemple. Même si, pour gagner du temps, le mieux reste d’avoir quelques templates fait par un·e graphiste !

Ci-dessous, un extrait du guide pour le collectif Respondi.

Vous l’avez compris, un logo seul est inutile et même contre-productif.

Vous souhaitez avoir un court document qui vous aide à communiquer vos valeurs de manière cohérente ? Parlez-moi de votre projet.

Comment choisir son ou sa graphiste ? 5 choses à prendre en compte.

Aaah, choisir un·e graphiste pour réaliser son identité visuelle ou faire une refonte, créer sa communication print ou réaliser des illustrations n’est pas toujours une mince affaire !

Entre les prestataires qui sont spécialisé·es dans certaines thématiques, d’autres qui sont polyvalent·es et ceux et celles qui mettent l’éco-responsabilité au coeur de leur pratique, il peut être difficile de savoir avec qui travailler.

Dans cet article, je parle des 5 points qui sont, à mes yeux, indispensables pour faire un choix éclairé qui débouche sur une collaboration fructueuse.

1 – Choisir en fonction de ses besoins

Avant même de choisir son graphiste, il faut poser à plat ses besoins ! Eh oui, vous n’allez pas travailler avec les mêmes personnes si vous souhaitez faire un packaging très original ou bien des flyers éco-pensés.

Dans le secteur du graphisme, vous pouvez rapidement vous perdre entre toutes les spécialisations et les acronymes.

Voici quelques précisions concernant les différences du métier :

  • Le ou la graphiste freelance peut s’occuper de votre communication web ou print (c’est notamment ce que je fais) et créer vos éléments graphiques, votre identité visuelle avec un logo, vos différents supports de communication (visuels pour réseaux sociaux, livres, cartes de visite…) et des illustrations.
  • Le ou la graphiste webdesigner s’occupe de créer le design de votre site internet en suivant votre charte graphique que vous aurez, souvent, façonnée en amont avec un·e graphiste freelance qui met vraiment la créativité en avant.

Avant de choisir à qui confier votre projet visuel, posez bien à plat vos besoins et vos objectifs créatifs.

2 – La spécialité et les valeurs

Mieux vaut un·e spécialiste de son domaine qu’une personne qui sait tout faire mais moyennement. Maîtriser parfaitement les codes et les logiciels pour le graphisme imprimé, la photographie, l’illustration, la création de site internet, de vidéo, de motion design… demanderait une vie ! Et c’est normal.

Mais la spécialisation ne s’arrête pas uniquement au supports de communication. Cela s’incarne aussi par les valeurs. Travailler avec une personne qui partage vos convictions, qui croit de tout son cœur en votre projet, c’est la garantie qu’elle va mettre à votre service tout son enthousiasme et ses capacités. Et si votre projet porte des valeurs de responsabilité sociale et/ou environnementale, travailler avec une personne qui partage ces dernières permettra d’avoir un résultat inclusif et attentif à son impact sur la planète !

Les questions environnementales et sociales me tiennent à coeur, c’est pour cela que je me concentre sur un graphisme responsable.

Qu’est-ce que cela veut dire ?

Le graphisme responsable prend en compte trois critères : le message véhiculé doit être honnête (éviter manipulation, washing), les visuels doivent être inclusifs (représentations variées + accessibles) et limiter leur impact environnemental.

Évidemment mes partenaires s’engagent dans une démarche similaire de communication responsable.

Les graphistes polyvalent·es existent et c’est une bonne chose si c’est que vous cherchez. Mais, si vous avez besoin d’une personne experte dans un domaine, il vaut mieux partir avec un·e graphiste spécialisé·e et expérimenté·e.

Et cette expérience peut provenir des études mais c’est surtout les réalisations et le portfolio qu’il faut regarder. Vous pourrez ainsi voir si le style graphique, les idées et la créativité de la personne vous parlent.

3 – Le portfolio et les réalisations

Le portfolio, c’est-à-dire un espace de présentation des projets réalisés, est un indicateur clé du professionnalisme, du savoir-faire et des compétences techniques. Il permet de voir si vous êtes sensible à son style car chaque graphiste freelance possède une sensibilité artistique différente !

Les réalisations présentes dans le portfolio sont véritablement le CV de chaque graphiste, qu’importe sa spécialité.

Toutes mes réalisations se trouvent sur chaque page service.

4 – Le tarif

On dit souvent : choisir le moins cher peut coûter cher. Et je suis d’accord avec cela. Attention, un prix excessif n’est pas toujours gage de qualité non plus. Le feeling et l’appel découverte sont primordiaux dans le choix du bon graphiste.

Je vous conseille de vous méfier des prestations trop alléchantes qui peuvent dissimuler un manque d’expérience, un générateur ou, malheureusement, une personne qui n’est pas rémunérée à sa juste valeur.

Si vous choisissez un·e graphiste sur une plateforme comme 5euros.com ou graphiste.com, et que vous payez votre logo moins de 100 € (oui oui, c’est possible), alors soit vous travaillerez avec un·e étudiant·e mal payé·e, soit une personne qui utilise un générateur ou même l’IA.

Qu’est-ce qu’un générateur ?

C’est tout simplement une machine qui génère un logo qui n’est ni personnalisé, ni personnalisable et qui risque de ne pas être unique. Aujourd’hui, avec l’intelligence artificielle, ce risque est encore plus grand.

Une communication visuelle de qualité demande :

  • de la réflexion
  • une connaissance des logiciels et des outils performants tels que Photoshop, Illustrator et Indesign
  • une veille créative
  • de l’imagination
  • de nombreux essais

Si un·e graphiste vous propose deux choix différents, en réalité au moins le triple de pistes ont été développées. Entre le choix des couleurs, des éléments graphiques, des typographies…tout a été pensé pour correspondre à vos valeurs et incarner votre identité de marque.

5 – L’échange et le feeling

Quand on fait appel à un·e prestataire, il est indispensable de pouvoir lui accorder sa confiance. Et quoi de mieux que de se rencontrer par téléphone ou visio pour savoir si le feeling est bon ?

Vous sentirez tout de suite si la ou le graphiste est à l’écoute, si la personne comprend vos besoins et est en capacité d’y répondre. Le graphisme reste un métier qui demande de la curiosité et de la passion !

L’appel découverte est à mes yeux primordial pour se rencontrer, présenter le projet et valider le besoin. Car oui, le ou la graphiste a une capacité de conseil et peut vous aider à (re)définir vos besoins graphiques afin d’avoir une démarche de communication responsable.


Vous souhaitez adopter une identité visuelle éco-responsable qui incarne vos valeurs ?

Discutons de votre projet.

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