Je te décris ici les cinq points qui sont, pour moi, indispensables à une collaboration fructueuse.
1 – L’échange
Quand on fait appel à un·e prestataire, il est indispensable de pouvoir lui accorder sa confiance. Et quoi de mieux que de se rencontrer par téléphone ou visio pour savoir si le feeling est bon ?
Tu sentiras tout de suite si la ou le graphiste est à l’écoute ou non, car c’est un métier qui demande de la curiosité et de la passion !
Donc on commence par se rencontrer, présenter le projet et valider le besoin.
Car oui, le ou la graphiste a une capacité de conseil, et peut t’aider à (re)définir tes besoins afin d’avoir une démarche de communication éco-responsable.
2 – L’alignement avec les valeurs
Travailler avec une personne qui partage tes convictions, qui croit de tout son cœur en ton projet, c’est garantir qu’elle va mettre à ton service tout son enthousiasme et ses capacités.
Par ailleurs, si tu ton projet portes des valeurs de responsabilité sociale et/ou environnementale, travailler avec une personne qui partage ces valeurs te permettra d’avoir un résultat inclusif et attentif à son impact sur la planète !
3 – Le portfolio
Le portfolio, c’est-à-dire un espace de présentation des projets réalisés, est un indicateur clé du professionnalisme, du savoir-faire et des compétences techniques. Il te permet également de voir si tu es sensible à son style, car chaque graphiste possède une sensibilité artistique différente !
4 – La spécialité
Mieux vaut un·e spécialiste de son domaine qu’une personne qui sait tout faire mais moyennement. Maîtriser parfaitement les codes et les logiciels pour le graphisme imprimé, la photographie, l’illustration, la création de site internet, de vidéo, de motion design… demanderait une vie !
5 – Le tarif
Méfie-toi des prestations trop alléchantes qui peuvent dissimuler un manque d’expérience, un générateur ou malheureusement, une personne qui n’est pas rémunérée à sa juste valeur.
Si tu choisis un·e graphiste sur une plateforme type 5euros.com ou graphiste.com, et que tu payes ton logo moins de 100 € (oui oui, c’est possible), alors soit tu travailleras avec un·e étudiant·e mal payé·e, soit une personne qui utilise un générateur.
(un générateur est une machine qui génère un logo qui n’est ni personnalisé, ni personnalisable, qui risque de ne pas être unique et que tu ne peux pas déposer à l’INPI.)
Une communication visuelle de qualité demande de la réflexion, une connaissance des logiciels performants, une veille créative et, bien évidemment, de l’imagination et de nombreux essais ! Si un·e graphiste te propose deux choix différents, en réalité au moins le triple de pistes ont été développées.
Tu éprouves de inquiétudes à l’idée de déléguer ta communication ?
Découvre dans cet article pourquoi déléguer te permet d’affirmer ta démarche responsable.
Tu as un projet de communication visuelle et tu te sens prêt·e à sauter le pas ? Contacte-moi !